Les chercheurs qui développent des souches extra-contagieuse de grippe aviaire H5N1 ont accepté de suspendre leurs travaux pendant 60 jours.
Le stop annoncé le 20 janvier dans Nature et Science, est une réponse à la peur du public et l'alarme dans la communauté scientifique, qui s'est divisé sur la possibilité que la recherche pourrait involontairement conduire à la libération d'une maladie cauchemar.
Ce stop est soit une véritable reconnaissance de la nécessité d'élargir la discussion ou à un geste de relations publiques. De toute façon, c'est une chance pour tous de reprendre leur souffle.
La peur que le virus "peut s'échapper des laboratoires a généré un débat public intense dans les médias sur les avantages et les dangers potentiels de ce type de recherche», ont écrit les chercheurs dans une lettre ouverte en déclarant le moratoire. «Afin de fournir du temps pour ces discussions, nous avons convenu d'une pause volontaire de 60 jours sur toute recherche impliquant des virus hautement pathogène de l'influenza aviaire H5N1 conduisant à la génération de virus qui sont plus transmissibles chez les mammifères."
Le stop annoncé le 20 janvier dans Nature et Science, est une réponse à la peur du public et l'alarme dans la communauté scientifique, qui s'est divisé sur la possibilité que la recherche pourrait involontairement conduire à la libération d'une maladie cauchemar.
Ce stop est soit une véritable reconnaissance de la nécessité d'élargir la discussion ou à un geste de relations publiques. De toute façon, c'est une chance pour tous de reprendre leur souffle.
La peur que le virus "peut s'échapper des laboratoires a généré un débat public intense dans les médias sur les avantages et les dangers potentiels de ce type de recherche», ont écrit les chercheurs dans une lettre ouverte en déclarant le moratoire. «Afin de fournir du temps pour ces discussions, nous avons convenu d'une pause volontaire de 60 jours sur toute recherche impliquant des virus hautement pathogène de l'influenza aviaire H5N1 conduisant à la génération de virus qui sont plus transmissibles chez les mammifères."
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